In 2008, Invader takes control of a new technology : QR code; images composed of small black and white squares that allow to deliver content via a smartphone.
He integrates them into his favorite material, i.e. mosaics, and he slightly modifies the image without altering the content to hide a space invader as a signature.
Behind the physical artwork and its image lies a message that is revealed to people equipped with the decoding app: "this is an invasion", "nice art", "I love you" or "not for sale"...
En 2008, Invader s'empare d'une nouvelle technologie : les QR codes, des images composées de petits carrés noirs et blancs qui permettent de délivrer du contenu via un smartphone.
Il les transpose dans son matériau de prédilection, la mosaïque et, en guise de signature, modifie légèrement l'image pour y camoufler un space invader sans pour autant altérer le code.
Derrière l'oeuvre physique et son image, il cache alors des messages qui seront dévoilés au spectateur muni d'un décodeur : "Ceci est une invasion", "Nice art", "I love you" ou "not for sale"...
Here is a short video recorded by Invader. You can visualise the reading of the QR code from VRN_12 installed in situ in Varanasi, India.
Voici une courte vidéo filmée par Invader. On y voit la lecture de VRN_12, un QR code posé in situ à Bénares :
Some works contain more evolved codes redirecting to a website.
For example with BXL_40, an art piece installed in Brussels, the mosaics reveal an animation about the invasion of the city.
Certaines oeuvres contiennent un code un peu plus évolué redirigeant vers une page web.
C'est par exemple le cas de BXL_40, une oeuvre posée à Bruxelles, qui révèle à qui saura la décoder une animation de toutes les pièces de l'invasion de la ville.